Dans de rares cas, cette attitude peut s’expliquer de façon génétique. En effet, l’horloge interne de plusieurs individus fonctionne plus sur vingt-cinq heures que sur vingtquatre heures. Cela expliquerait la tendance à être du soir ou d’avoir parfois un rythme un peu décalé. Selon l’âge de la personne, les tendances sont également bien diverses. Les jeunes sont généralement les plus touchés par le virus de repousser toujours un peu plus le moment d’aller se coucher.
C’est pour cela que qu’il est observable que les jeunes sont plus du soir et que les personnes un peu plus âgées sont, en règle générale, assez matinales. Cependant, se coucher trop tard est un problème qui touche toutes les tranches d’âges. Nombreux sont ceux qui se défendent de cette mauvaise habitude en prétendant qu’ils n’ont pas besoin de dormir ou alors que de tout façon s’ils se couchent ils ne dormiront pas. En réalité, nous ne savons plus écouter les signes de fatigue manifestés par le corps. Nous les entendons, mais ne voulons plus les comprendre.
Nous sommes devenus ainsi à cause des outils modernes. Dormir, nécessite d’arrêter de lire, de regarder la télévision, de réfléchir, de regarder son téléphone portable... Ceci relève d’un véritable défi à l’heure actuelle. Une bonne nuit de sommeil se prépare en amont. Vous devez donner le signal à votre cerveau en réduisant les bruits et la lumière qui vous entourent. Vous devez cesser toute activité et vous détendre. Chacun doit également être à l’écoute de son corps pour ne pas louper le train du sommeil comme on dit. Ecouter son corps, c’est aller se coucher lorsque l’on ressent la fatigue, cela peut paraître basique, mais peu le font. Pour celles et ceux qui ont besoin de temps pour eux entre le boulot et le dodo, une petite ballade, du sport ou le cinéma peuvent vous faire tourner la page et ainsi pouvoir vous abandonner au sommeil.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire